Je l'ai lu...Chronique #24
Chère Mamie de Virginie Grimaldi
Résumé : Des
chroniques de voyages délirantes, présentées sous forme de cartes postales
adressées par la narratrice à sa grand-mère. Selon les mots de Virginie grimaldi "Il ne s'agit pas d'un roman mais de petites chroniques du quotidien tendres ou humoristiques" comme elle l'a expliqué dans son post Instagram où on la voit nous montrer son bébé en vidéo :D
Comme vous le savez peut-être maintenant je suis assez fan
de Virginie Grimaldi. Je me suis lancé une sorte de challenge qui consiste à ne
plus acheter de livre jusqu'à Noël, cependant, son dernier titre me faisait
très envie car j'avais déjà pu lire des bribes de ces petites cartes qu’elle
envoie à sa grand-mère sur Instagram. J'ai alors plus ou moins dit à mon homme
que je voulais lire ce livre, en fait il est parti me l'acheter, donc il me l'a
offert. J'avais quelques petites attentes pour ce livre car j'avais déjà été
émue par quelques posts que Virginie Grimaldi avait déjà mis en ligne. Je
savais que j'allais rire, beaucoup rire, mais je pensais avoir quand même
quelque fois la larme à l’œil.
J’ai donc décidé de ne pas lire ce recueil de petites
situations trop rapidement, étant donné qu’il est sectionné par saisons, je me
suis faite une saison à la fois. D’ailleurs, je regrette que seules quatre
saisons existent, j’aurai tellement aimé en lire une douzaine.
C’est un livre très plaisant à lire, drôle, encore une fois
avec des situations qui peuvent nous arriver à tous. Je trouve quand même que
je l’ai lu trop vite, enfin qu’il s’est lu trop vite, car ce sont des petits
bouts de bonheur qu’on devrait se garder pour tous les jours.
Je n’ai pas été émue à en pleurer, comme j’ai déjà pu l’être
dans un de ses romans ou même suite à une de ces publications que j'ai pu lire sur Internet, mais plutôt un peu nostalgique quelques fois, car je n’aurai
plus jamais l’occasion de partager ce que je vis avec ma grand-mère.
J’espère qu’elle fera une autre édition de ce genre de
recueil, avec pourquoi pas des choses plus « sensibles » dans le
sens peut-être un peu plus tristes (même si ce n’est pas forcément
autobiographique).
Le gros point positif de ce livre, c’est que les bénéfices
seront reversés à l’association Cékedubonheur, qui s’occupe d’améliorer le
quotidien des enfants hospitalisés. Rien que pour cela, il faut l’acheter.
Voici l’adresse du site internet de l’association, juste ici, si quelques fois vous
souhaitez faire un don 😉.
Je ne vais dévoiler aucune histoire du livre, car il est bien plus intéressant de les lire directement. Si vous aimez Virginie Grimaldi, cela vous ravira, et si vous ne la connaissez pas, ce petit recueil est un bon moyen de faire connaissance avec sa plume, touchante, drôle, vraie, humaine.
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Je ne vais dévoiler aucune histoire du livre, car il est bien plus intéressant de les lire directement. Si vous aimez Virginie Grimaldi, cela vous ravira, et si vous ne la connaissez pas, ce petit recueil est un bon moyen de faire connaissance avec sa plume, touchante, drôle, vraie, humaine.
J’ai beaucoup aimé ce livre ****
Je l'ai lu...Chronique#23
Miss Pérégrine et les enfants particuliers
Résumé : Jacob est
un ado comme les autres, excepté qu'il se pose des questions sur son
mystérieux grand-père. Quelles sont ces étranges photos d'enfants
qu'il lui montrait quand il était petit ? Les histoires qu'il lui
contait sur eux étaient-elles vraies? Et pourquoi disparaissait-il
aussi souvent ?
Tout s'accélère le jour où il le retrouve blessé dans son jardin. Jacob a vu des monstres, il en est sûr, et personne ne veut le croire. Il ne lui reste qu'à suivre les dernières instructions qu'a murmuré son grand-père avant de rendre son dernier souffle...
Tout s'accélère le jour où il le retrouve blessé dans son jardin. Jacob a vu des monstres, il en est sûr, et personne ne veut le croire. Il ne lui reste qu'à suivre les dernières instructions qu'a murmuré son grand-père avant de rendre son dernier souffle...
Ce livre rentrait dans
une des catégories du Pumpkin Autumn Challenge.
Automne Ensorcelant- Cristaux, tarot et encens.
Mais j'avais déjà hâte de le lire avant ça. N'ayant pas vu le film, je partais vraiment sans apriori vers cette histoire. Petit point bonus pour l'édition que j'ai choisie, format livre de poche qui tient parfaitement dans les mains, en étant un peu plus large.
Automne Ensorcelant- Cristaux, tarot et encens.
Mais j'avais déjà hâte de le lire avant ça. N'ayant pas vu le film, je partais vraiment sans apriori vers cette histoire. Petit point bonus pour l'édition que j'ai choisie, format livre de poche qui tient parfaitement dans les mains, en étant un peu plus large.
Nous allons suivre
l'histoire de Jacob, un jeune homme de 16 ans, qui va nous raconter
l'histoire. Au début, il nous livre des éléments de sa relation
avec son grand père, qu'on peut percevoir comme étant une relation
enfant/grand-parent assez proche, sans être non plus fusionnelle. Il
nous conte, tels des souvenirs, des petites bribes de son histoire,
des bons moments, et cela se matérialise sous la forme des histoires
que son grand-père aimait lui raconter.
L'histoire d'un
pensionnat, d'enfants spéciaux, avec des « dons »
incroyables. Jacob, étant tout jeune enfant, buvait les paroles de
son grand-père, puis, en grandissant, il a eu du mal à le croire.
Alors son grand-père a commencé par lui montrer des photographies
anciennes, en noir et blanc, avec des enfants ayant une drôle de
posture sur celles-ci. Une très jeune enfant semblait être en
lévitation, un autre soulevait un rocher qui selon son grand-père
pesait très très lourd, puis une fillette au bord d'une marre avec
deux fillettes en reflet. Jacob est persuadé d'avoir décelé là
une supercherie, lui disant que ses photos sont clairement truquées, et il ne croit plus aux histoires farfelues du vieil
homme.
En grandissant, il
continue de s'occuper de son grand-père qui perd un peu la tête,
refusant à ses parents de le placer en maison spécialisée, car il
est encore autonome.
Après un coup de fil a
moitié affolé de son propre père, Jacob va aller rendre visite à
son grand-père afin de s'assurer que celui-ci va bien. Il ne le
trouve nul part dans la maison, et remarque un tel désordre qu'il
sent que quelque chose de grave s'est produit. L'armoire où il garde
des armes montre des traces de tentatives d'ouverture, sans succès.
Jacob commence à paniquer, et, accompagné par son seul ami, il
fonce dans les alentours afin de retrouver son grand-père.
Il va le retrouver, face
contre terre, tout ensanglanté. Il va même apercevoir comme une
sorte de regard dans les feuillages qui bordent le jardin, mais
sans vraiment pouvoir distinguer les formes de cette chose.
Son grand-père, qui a
été lacéré de toutes parts, lui livre ses dernières pensées
avant de rendre son dernier souffle.
Jacob est en deuil.
L'être de la famille qu'il aime le plus, celui dont il était le
plus proche, vient de mourir, en ne laissant derrière lui qu'une
vaste énigme sous forme de quête.
Ne vivant pas très bien
la période de deuil, ses parents lui recommandent fortement d'aller
voir un psy, afin qu'il se sente un peu mieux. Son meilleur ami lui a
tourné le dos, refusant de corroborer son histoire de présence dans
les « bois » où ils ont découvert son grand-père. Il
passe pour fou auprès de tous. Cependant, il va se fier à son
instinct, celui de suivre les traces du passé de son grand-père,
avec le peu d'informations qu'il lui a fournies.
C'est comme ça qu'il se
retrouve sur l'île de Cairnholm, au large du pays de Galles, là où
son grand-père affirme avoir passé son enfance. Accompagné par son
père, qui tente d'écrire un énième livre qui ne verra sans doute
jamais le jour, il débarque dans cet endroit où déjà, il a
l'impression d'avoir reculé dans le temps.
Il va finir par trouver
le pensionnat, et après une première tentative échouée, il va y
retourner et faire une découverte incroyable. Non seulement les
enfants particuliers ont bel et bien existé, mais en plus, ils sont
toujours en vie ! Et plus incroyable encore, ils sont restés de
jeunes enfants !
Tout cela est bien
entendu du au fait que Miss Pérégrine, la directrice des lieux a
créée une boucle temporelle, refaisant vivre éternellement au
pensionnat et à ses habitants la journée du 3 Septembre 1940, juste
avant que celui-ci ne soit bombardé par les tirs allemands...
Sans en dévoiler plus,
et comme vous l'avez sans doute compris, j'ai adoré cette histoire.
Il y a un fond historique
dès les premiers chapitres, car on apprend que le grand-père de
Jacob a été déporté, étant juif, et que son enfance a été très
difficile. Puis, en se retrouvant au milieu de la seconde guerre
mondiale, les protagonistes vont être tiraillés entre plusieurs
sentiments.
D'un côté, ils vivent
comme si rien de grave ne s'était produit, restant cachés aux yeux
des gens mais continuant d'exister, et de l'autre, l'arrivée de
Jacob va susciter chez eux une envie de transgresser les règles
mises en place par Miss Pérégrine pour leur sécurité. Jacob va
aller de découverte en découverte, les personnages évoluent assez
bien au fil de l'histoire.
L'action met du temps à
s'installer, mais cela ne m'a pas gênée, car il s'agit d'un premier
tome et je savoure toujours le contexte de base de l'histoire, avant
que tout ne s'emballe et que les héros n'aient plus d'autres
solutions que la fuite. D'ailleurs, dans cette histoire, évidemment,
il y a des méchants. Et pas de petits méchants, ils veulent tout
simplement asservir le monde, et plus précisément les enfants
particuliers.
Mais je vous laisse
découvrir les détails par vous-même, si vous ne l'avez pas déjà
fait. L'action va crescendo, jusqu'à une scène assez spéciale à
la fin du livre, ou même les sous-marins espions étrangers ont
réussi à s'inviter.
J'ai beaucoup apprécié
les photographies de ce premier tome. L'auteur s'est donné beaucoup
de mal en arpentant les vide-greniers et autres brocantes à la
recherche de photographies anciennes, et il a même réquisitionné
pas mal de ses connaissances. Cela donne un côté encore plus
« vrai » et authentique à son histoire. J'espère un peu
plus de « magie » dans le prochain tome, peut-être
découvrir d'autres enfants particuliers, avec des pouvoirs un peu
plus « originaux ».
J'ai également beaucoup aimé la sensation de retrouver, comme dans le Peter Pan de mon enfance, des enfants ne voulant pas grandir (même si leur âme a grandi et un peu évolué) et se retrouvant prisonniers de leurs corps d'enfant, tels les enfants perdus. L'arrivée de Jacob va tout chambouler, les aider, les faire se découvrir un peu, et nous allons entamer un voyage dont l'issue est plus qu'incertaine.
Photographie tirée du livre |
J'ai également beaucoup aimé la sensation de retrouver, comme dans le Peter Pan de mon enfance, des enfants ne voulant pas grandir (même si leur âme a grandi et un peu évolué) et se retrouvant prisonniers de leurs corps d'enfant, tels les enfants perdus. L'arrivée de Jacob va tout chambouler, les aider, les faire se découvrir un peu, et nous allons entamer un voyage dont l'issue est plus qu'incertaine.
Je ne suis pas étonnée
que Tim Burton se soit chargé de la réalisation du film, car
l'univers colle parfaitement au sien : coloré (dans mon
imagination car je rappelle que j'ai pas vu le film), décalé,
sombre, étrange et avec un côté addictif !
Et vous, l'avez vous lu ?
Avez-vous également lu les autres tomes ? Je ne vais pas
pouvoir résister longtemps avant de me les acheter...
N'hésitez pas à me dire en commentaire ce que vous avez pensé de cette histoire. Quels sont vos personnages préférés ?
J'ai adoré ma lecture, je lui attribue *****
Je l'ai lu...Chronique #22
L'arbre d'Halloween de Ray Bradbury
Résumé :
Lorsqu'ils frappent à la porte de Montsuaire pour réclamer des
bonbons, Tom et ses copains déguisés en zombies ne savent rien de
ce qui les attend... Commence alors un fabuleux voyage dans l'espace
et le temps... Une quête fantastique et poétique des origines
d'Halloween...
"Tout a commencé quand ? En Égypte, il y a quatre millénaires, pour célébrer l'anniversaire de la mort du soleil ? Ou des millions d'années plus tôt, devant les feux nocturnes allumés par les hommes des cavernes ? Ou dans le ciel de Paris, là où d'étranges créatures sont venues se pétrifier pour devenir les gargouilles de Notre-Dame?"
"Tout a commencé quand ? En Égypte, il y a quatre millénaires, pour célébrer l'anniversaire de la mort du soleil ? Ou des millions d'années plus tôt, devant les feux nocturnes allumés par les hommes des cavernes ? Ou dans le ciel de Paris, là où d'étranges créatures sont venues se pétrifier pour devenir les gargouilles de Notre-Dame?"
J'ai lu ce livre dans le
cadre du Punmpkin Autumn Challenge, et qu'est-ce que j'ai bien fait !
A première vue, j'avais bien aimé le résumé, mais je ne m'attendais
pas à avoir un petit coup de cœur pour ce livre.
L'arbre d'Halloween est
un conte ou nous allons suivre une bande de huit jeunes enfants le
soir d'Halloween. Ils sont tous costumés, prêts à célébrer cette
tradition outre-atlantique. Ils se rejoignent dans leur rue, étant
tous voisins, et se rassemblent donc afin de faire la célèbre quête
des bonbons en proposant aux propriétaires des maisons chez qui ils
iront sonner leur disant « un don ou t'es un dindon »
(phrase qui m'a bien fait sourire). Cependant, ils étaient censés
être neuf, un de leurs amis manque à l'appel. Le petit Pipkin.
L'incroyable Pipkin. Il leur avait vaguement parler d'une maison à
aller voir, à la sortie de la ville, une maison qui apparement,
allait bien les faire flipper.
Tout à coup, ils l'aperçoivent, il
arrive, prêt à se joindre à eux. Mais Pipkin, qui tente pourtant
de la cacher, se sent très mal et est malade. Il se plie même en
deux à un moment donné, montrant à ses amis qu'il couve peut-être
quelque chose de grave. Il demande donc à ses jeunes compagnons
d'aller à la maison, en leur disant qu'il va les rejoindre. Et tout
commence.
Les huit jeunes enfants
arrivent dans cette maison plus qu'étrange, avec un décor qui file
les chocottes. Ils vont faire la connaissance d'un personnage tour
particulier, Montsuaire, après avoir découvert « l'arbre
d'Halloween ». Ce personnage, effrayant au début car
déroutant, va vite s'avérer assez gentil envers les enfants. Il va
leur proposer de voyager dans le temps afin de découvrir pourquoi
Halloween existe, comment tout cela a commencé. Après tout,
pourquoi se déguise-t-on en sorcière, en momie, en squelette ou un
tas d'autres choses ?
C'est ce que nous allons découvrir dans
ce petit voyage, d'abord grâce à un cerf volant magique, fabriqué
de toute pièces par Montsuaire et qui a la capacité de tous les
transporter vers leur première destination...
Dans ce livre, nous
allons pas mal voyager. De l’Égypte avec les pharaons et autres
sarcophages, en passant par l'Irlande, l'Europe, le Mexique, nos
héros vont être soumis à des situations assez rocambolesques,
intrigantes, parfois un peu dangereuses. Ils vont être amenés à
réfléchir sur plusieurs sujets, le sens de la vie, de l'amitié, du
sacrifice, de la mort, du deuil, bref, ils ne vont pas s'ennuyer !
Au delà du sujet qui
était assez intéressant (le voyage en lui même aussi d'ailleurs),
ce que j'ai préféré dans ce livre c'est l'écriture. C'était très
joli, extrêmement bien écrit, imagé, onirique, bref Ray Bradbury
m'a emmené dans son monde. A mi chemin entre Tim Burton et Disney
(l'étrange Noël de Mr Jack), je n'ai eu aucun mal à m'imaginer les
scènes décrites avec tant de poésie !
Même si tout cela
reste un conte, on est plongés entre de la prose, avec des
métaphores, et la poésie pure et dure, surtout avec le personnage
de Montsuaire, car en lisant les répliques on se rend très vite
compte que ses phrases riment entre elles. Tantôt embrassées,
suivies ou croisées, les rimes apportent une autre dimension au
personnage, en le rendant très spécial. Il donne également une
dimension apaisante au livre, je me suis sentie bien en le lisant. Ma
lecture était très fluide, rapide, mais je ne voulais pas que ça
se termine, même si j'étais pressée de savoir comment cela allait
se terminer.
Alors oui, une ambiance
assez particulière entoure L'arbre d'Halloween, les enfants et
Montsuaire (la Mort?), surtout au début, mais c'est ce qui donne son
côté intrigant au livre. Je vivais les différentes situations avec
les personnages, j'espérais avec eux, j'avais un peu peur pour eux,
mais on était toujours rassurés avec les belles phrases du
personnage que j'ai préféré dans ma lecture, Montsuaire.
Je pense garder ce livre
dans ma bibliothèque, car il va devenir mon incontournable à
Halloween...
L'avez-vous déjà lu ? Qu'en avez-vous pensé ?
L'avez-vous déjà lu ? Qu'en avez-vous pensé ?
N'hésitez pas à me le dire en commentaire!
J'ai adoré ma lecture, je lui attribue *****
Je l'ai lu...Chronique # 21
Le chat: légendes, mythes, et pouvoirs magiques de Christian Doumergue
Prémonition, capacités
surnaturelles, on prête souvent d'étranges pouvoirs aux chats, dont
la croyance populaire dit qu'ils seraient dotés de sept vies.
Certains, comme les chats noirs, font l'objet de superstitions
particulières. Leur sont attribués de puissants pouvoirs, tantôt
maléfiques, tantôt bénéfiques.
Au fil des siècles, manuscrits et livres ont gardé bien des souvenirs de ces liens privilégiés entre les chats et le surnaturel. Messagers des dieux dans l'Égypte antique, auteurs de présages au moyen-âge, les chats se retrouvent même mentionnés dans de nombreux procès en sorcellerie !
Christian Doumergue vous propose des histoires de chats magiques, extraordinaires et diaboliques qui ne pourront vous laisser indifférents... Vous allez découvrir un autre visage du chat !
Lecture du PAC
« oblige », afin de valider avec sûreté la catégorie
« Au détour de Brocéliande », j'ai ajouté cette
lecture à ma pal. J'avais vraiment hâte de lire ce livre, car
j'adore les chats, la magie, ce qui a un rapport avec la sorcellerie,
et j'ai moi-même plusieurs chats. J'avais donc très envie de me
plonger dans ce livre. Sans grande surprise, cela était très
intéressant.
Nous allons donc entrer
dans villages, des foyers, à travers différentes époques, où tout
nous ait conté comme de petites histoires de village, des ragots.
Autant dire que ce livre n'apporte pas de preuve matérielle, mais
qu'il est bien là pour nous faire part d'autant d'histoires et de
légendes que possibles sur les chats.
Cela commence au temps de l’Égypte ancienne, quand le chat était encore considéré comme une
divinité. Il était adoré, respecté, craint, et en percevoir un
était souvent signe que les Dieux étaient présents. Il a même été
associé à plusieurs dieux ou déesses durant l'époque des
pharaons.
Puis, peu à peu, nous
allons découvrir toutes les histoires à travers la France, avec
bien souvent des histoires qui se ressemblent beaucoup. Peut-être un
peu trop...
J'ai bien aimé ce livre
car l'auteur s'est énormément documenté sur le sujet, d'ailleurs
il fait références à pas mal d'ouvrages (plus de 530 notes de bas
de page), et j'avoue que je m'y suis un peu perdue...Certes, c'est
très intéressant, mais j'ai trouvé ça un peu redondant.
Le chat est associé au
diable, au mal, à la sorcellerie. Toutes les histoires vont se
ressembler. Du chat qu'on trouve, tout mignon, qu'on récupère pour
l'amener chez soi et qui pendant le trajet, va grossir et grandir, au
point de devenir tellement lourd qu'il devient impossible à porter.
Le chat se met alors à parler et demande à celui qui l'a trouvé de
le reposer exactement à l'endroit où il l'a trouvé, sous peine de
mourir...
De mémoire, quelques
histoires m'ont marquée, car elles ont tellement été répétées
que je ne peux que m'en souvenir.
Il y a les chats qui
faisaient « s'enrichir » leur propriétaires, ceux qui se
réunissaient pour célébrer une sorte de rituel à un moment précis
du mois.
Ensuite, il y a eu
beaucoup d'histoires de femmes qui prenaient l'apparence d'un chat,
évidement pour faire le mal. Mais lorsque ceux-ci dérangeaient les
gens qu'ils suivaient ou espionnaient et qu'ils leur faisaient du mal
(lui coupaient une patte ou le blessaient au visage), le lendemain au
village, on apprenait qu'une femme souffrait chez elle : il lui
manquait une main ou elle avait le visage tout éraflé/entaillé.
J'ai aussi retenu que si
tu blesse un chat « maudit » une fois, il partira, mais
que si tu lui portes un second coup, celui ci pourra se retourner
contre toi, pouvant aller jusqu'à te tuer.
C'est un livre avec plein
de petites histoires comme celles-ci. Dans la dernière partie, on va
même découvrir les mythes des autres pays associés aux chats...
Il n'y a pas de style
d'écriture précis, car l'auteur ne fait que nous conter des
histoires déjà publiées, ou dites par des personnes de tel ou tel
village : je ne peux pas donc dire si j'aime « sa
plume »ou non.
Pour résumer, j'ai
apprécié le côté informatif, mais j'ai eu un peu de peine à le
terminer, car c'était long, rébarbatif à mon goût et qu'il n'amenait rien
d'autre de spécifique...Je suis admirative concernant la quantité des sources, cela représente un travail monstrueux! J'ai trouvé quelques titres d’œuvres qui me donnent envie cependant d'approfondir mes connaissances sur le sujet.
Cependant, comme dans le
livre, je me suis un peu amusée à faire la comparaison avec mes
propres chats. Je voulais voir si je pouvais retrouver certaines de
ces histoires avec ma petite famille chat.
Dans le livre, on nous
parle de la façon qu'ont les chat de faire leur toilette, qu'en le
faisant de telle ou telle façon cela est signe de pluie ou de beau
temps...pas vraiment pratique a vérifier selon moi.
Voici mon expérience
personnelle avec les chats. Avant, j'étais plus « chiens ».
J'ai eu des chiens dans mon enfance, un seul chat quand j'étais
petite mais ma mère a du s'en débarrasser car j'étais allergique,
et j'avais des plaques sur tout le corps. J'ai donc grandit en
n'appréciant pas trop les chats, en étant allergique à leur
contact. Puis, un jour, je n'ai plus eu de chien.
J'ai pris mon indépendance, et j'ai craqué sur mon premier chat : Pipoka. Un tigré tout mignon. Je l'adorais (il s'est enfuit suite à un déménagement...). Il accourait dès qu'il entendait la voiture, il dormait avec moi, il me pétrissait tout le temps (quelques fois il dormait même dans mon cou!), si bien que beaucoup de personnes disaient que c'était « un chat, chien » car élevé « comme un chien », dans le sens ou il accoure vers sa maîtresse, qu'il était demandeur de caresses, qu'il me réveillait la nuit pour que je lui ouvre la porte ou la fenêtre pour sortir faire ses besoins...et ensuite, j'en ai eu plusieurs.
Tous ne sont pas restés avec moi, j'ai du m'en séparer pour déménager de nouveau à mon grand regret.
Aujourd'hui, j'en ai 7. Deux d'entre eux sont tellement indépendants qu'il ne dorment pas à la maison, je les vois une fois tous les quinze jours, ils se font nourrir par tout le quartier et deviennent énormes. 2 d'entre eux sont encore des « ados chats », et une un bébé de trois ou 4 mois (la mère Twix la faite chez le voisin, et nous la ramené à un âge incertain mais elle devait avoir un mois et demi...) la petite Vanish.
Et enfin, mon gros nounours, mon pacha, Mr Bounty, aux allures de siamois/birmanie. Lui, c'est pareil, un vrai pot de colle. Très demandeur de caresses, il est encore plus proche de mon compagnon (qui pourtant n'apprécie pas trop les chats de base). Il nous « pétrit » tout le temps, se colle à nous, recherche constamment les caresses. Et il sent quand on est triste, joyeux, énervés, ou calmes (et là c'est la route du bonheur avec les câlins). Je considère mes chats comme mes « bébés », bien que je sois consciente qu'ils soient des animaux et non des humains. Ils sont mes protecteurs, mes confidents quand j'ai un coup de blues et mes doudous quand je recherche de l'affection non humaine. Bref, je les adore.
J'ai pris mon indépendance, et j'ai craqué sur mon premier chat : Pipoka. Un tigré tout mignon. Je l'adorais (il s'est enfuit suite à un déménagement...). Il accourait dès qu'il entendait la voiture, il dormait avec moi, il me pétrissait tout le temps (quelques fois il dormait même dans mon cou!), si bien que beaucoup de personnes disaient que c'était « un chat, chien » car élevé « comme un chien », dans le sens ou il accoure vers sa maîtresse, qu'il était demandeur de caresses, qu'il me réveillait la nuit pour que je lui ouvre la porte ou la fenêtre pour sortir faire ses besoins...et ensuite, j'en ai eu plusieurs.
Pipoka |
Tous ne sont pas restés avec moi, j'ai du m'en séparer pour déménager de nouveau à mon grand regret.
Pooka, Tia, Minette et Matou |
Aujourd'hui, j'en ai 7. Deux d'entre eux sont tellement indépendants qu'il ne dorment pas à la maison, je les vois une fois tous les quinze jours, ils se font nourrir par tout le quartier et deviennent énormes. 2 d'entre eux sont encore des « ados chats », et une un bébé de trois ou 4 mois (la mère Twix la faite chez le voisin, et nous la ramené à un âge incertain mais elle devait avoir un mois et demi...) la petite Vanish.
Twix, Bounty et Mars quand ils étaient bébés |
Et enfin, mon gros nounours, mon pacha, Mr Bounty, aux allures de siamois/birmanie. Lui, c'est pareil, un vrai pot de colle. Très demandeur de caresses, il est encore plus proche de mon compagnon (qui pourtant n'apprécie pas trop les chats de base). Il nous « pétrit » tout le temps, se colle à nous, recherche constamment les caresses. Et il sent quand on est triste, joyeux, énervés, ou calmes (et là c'est la route du bonheur avec les câlins). Je considère mes chats comme mes « bébés », bien que je sois consciente qu'ils soient des animaux et non des humains. Ils sont mes protecteurs, mes confidents quand j'ai un coup de blues et mes doudous quand je recherche de l'affection non humaine. Bref, je les adore.
Avez-vous des animaux ? N'hésitez pas à me le dire en commentaire !
J'ai un peu moins adoré le livre. Je lui attribue **
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