Le chat: légendes, mythes, et pouvoirs magiques de Christian Doumergue
Prémonition, capacités
surnaturelles, on prête souvent d'étranges pouvoirs aux chats, dont
la croyance populaire dit qu'ils seraient dotés de sept vies.
Certains, comme les chats noirs, font l'objet de superstitions
particulières. Leur sont attribués de puissants pouvoirs, tantôt
maléfiques, tantôt bénéfiques.
Au fil des siècles, manuscrits et livres ont gardé bien des souvenirs de ces liens privilégiés entre les chats et le surnaturel. Messagers des dieux dans l'Égypte antique, auteurs de présages au moyen-âge, les chats se retrouvent même mentionnés dans de nombreux procès en sorcellerie !
Christian Doumergue vous propose des histoires de chats magiques, extraordinaires et diaboliques qui ne pourront vous laisser indifférents... Vous allez découvrir un autre visage du chat !
Lecture du PAC
« oblige », afin de valider avec sûreté la catégorie
« Au détour de Brocéliande », j'ai ajouté cette
lecture à ma pal. J'avais vraiment hâte de lire ce livre, car
j'adore les chats, la magie, ce qui a un rapport avec la sorcellerie,
et j'ai moi-même plusieurs chats. J'avais donc très envie de me
plonger dans ce livre. Sans grande surprise, cela était très
intéressant.
Nous allons donc entrer
dans villages, des foyers, à travers différentes époques, où tout
nous ait conté comme de petites histoires de village, des ragots.
Autant dire que ce livre n'apporte pas de preuve matérielle, mais
qu'il est bien là pour nous faire part d'autant d'histoires et de
légendes que possibles sur les chats.
Cela commence au temps de l’Égypte ancienne, quand le chat était encore considéré comme une
divinité. Il était adoré, respecté, craint, et en percevoir un
était souvent signe que les Dieux étaient présents. Il a même été
associé à plusieurs dieux ou déesses durant l'époque des
pharaons.
Puis, peu à peu, nous
allons découvrir toutes les histoires à travers la France, avec
bien souvent des histoires qui se ressemblent beaucoup. Peut-être un
peu trop...
J'ai bien aimé ce livre
car l'auteur s'est énormément documenté sur le sujet, d'ailleurs
il fait références à pas mal d'ouvrages (plus de 530 notes de bas
de page), et j'avoue que je m'y suis un peu perdue...Certes, c'est
très intéressant, mais j'ai trouvé ça un peu redondant.
Le chat est associé au
diable, au mal, à la sorcellerie. Toutes les histoires vont se
ressembler. Du chat qu'on trouve, tout mignon, qu'on récupère pour
l'amener chez soi et qui pendant le trajet, va grossir et grandir, au
point de devenir tellement lourd qu'il devient impossible à porter.
Le chat se met alors à parler et demande à celui qui l'a trouvé de
le reposer exactement à l'endroit où il l'a trouvé, sous peine de
mourir...
De mémoire, quelques
histoires m'ont marquée, car elles ont tellement été répétées
que je ne peux que m'en souvenir.
Il y a les chats qui
faisaient « s'enrichir » leur propriétaires, ceux qui se
réunissaient pour célébrer une sorte de rituel à un moment précis
du mois.
Ensuite, il y a eu
beaucoup d'histoires de femmes qui prenaient l'apparence d'un chat,
évidement pour faire le mal. Mais lorsque ceux-ci dérangeaient les
gens qu'ils suivaient ou espionnaient et qu'ils leur faisaient du mal
(lui coupaient une patte ou le blessaient au visage), le lendemain au
village, on apprenait qu'une femme souffrait chez elle : il lui
manquait une main ou elle avait le visage tout éraflé/entaillé.
J'ai aussi retenu que si
tu blesse un chat « maudit » une fois, il partira, mais
que si tu lui portes un second coup, celui ci pourra se retourner
contre toi, pouvant aller jusqu'à te tuer.
C'est un livre avec plein
de petites histoires comme celles-ci. Dans la dernière partie, on va
même découvrir les mythes des autres pays associés aux chats...
Il n'y a pas de style
d'écriture précis, car l'auteur ne fait que nous conter des
histoires déjà publiées, ou dites par des personnes de tel ou tel
village : je ne peux pas donc dire si j'aime « sa
plume »ou non.
Pour résumer, j'ai
apprécié le côté informatif, mais j'ai eu un peu de peine à le
terminer, car c'était long, rébarbatif à mon goût et qu'il n'amenait rien
d'autre de spécifique...Je suis admirative concernant la quantité des sources, cela représente un travail monstrueux! J'ai trouvé quelques titres d’œuvres qui me donnent envie cependant d'approfondir mes connaissances sur le sujet.
Cependant, comme dans le
livre, je me suis un peu amusée à faire la comparaison avec mes
propres chats. Je voulais voir si je pouvais retrouver certaines de
ces histoires avec ma petite famille chat.
Dans le livre, on nous
parle de la façon qu'ont les chat de faire leur toilette, qu'en le
faisant de telle ou telle façon cela est signe de pluie ou de beau
temps...pas vraiment pratique a vérifier selon moi.
Voici mon expérience
personnelle avec les chats. Avant, j'étais plus « chiens ».
J'ai eu des chiens dans mon enfance, un seul chat quand j'étais
petite mais ma mère a du s'en débarrasser car j'étais allergique,
et j'avais des plaques sur tout le corps. J'ai donc grandit en
n'appréciant pas trop les chats, en étant allergique à leur
contact. Puis, un jour, je n'ai plus eu de chien.
J'ai pris mon indépendance, et j'ai craqué sur mon premier chat : Pipoka. Un tigré tout mignon. Je l'adorais (il s'est enfuit suite à un déménagement...). Il accourait dès qu'il entendait la voiture, il dormait avec moi, il me pétrissait tout le temps (quelques fois il dormait même dans mon cou!), si bien que beaucoup de personnes disaient que c'était « un chat, chien » car élevé « comme un chien », dans le sens ou il accoure vers sa maîtresse, qu'il était demandeur de caresses, qu'il me réveillait la nuit pour que je lui ouvre la porte ou la fenêtre pour sortir faire ses besoins...et ensuite, j'en ai eu plusieurs.
Tous ne sont pas restés avec moi, j'ai du m'en séparer pour déménager de nouveau à mon grand regret.
Aujourd'hui, j'en ai 7. Deux d'entre eux sont tellement indépendants qu'il ne dorment pas à la maison, je les vois une fois tous les quinze jours, ils se font nourrir par tout le quartier et deviennent énormes. 2 d'entre eux sont encore des « ados chats », et une un bébé de trois ou 4 mois (la mère Twix la faite chez le voisin, et nous la ramené à un âge incertain mais elle devait avoir un mois et demi...) la petite Vanish.
Et enfin, mon gros nounours, mon pacha, Mr Bounty, aux allures de siamois/birmanie. Lui, c'est pareil, un vrai pot de colle. Très demandeur de caresses, il est encore plus proche de mon compagnon (qui pourtant n'apprécie pas trop les chats de base). Il nous « pétrit » tout le temps, se colle à nous, recherche constamment les caresses. Et il sent quand on est triste, joyeux, énervés, ou calmes (et là c'est la route du bonheur avec les câlins). Je considère mes chats comme mes « bébés », bien que je sois consciente qu'ils soient des animaux et non des humains. Ils sont mes protecteurs, mes confidents quand j'ai un coup de blues et mes doudous quand je recherche de l'affection non humaine. Bref, je les adore.
J'ai pris mon indépendance, et j'ai craqué sur mon premier chat : Pipoka. Un tigré tout mignon. Je l'adorais (il s'est enfuit suite à un déménagement...). Il accourait dès qu'il entendait la voiture, il dormait avec moi, il me pétrissait tout le temps (quelques fois il dormait même dans mon cou!), si bien que beaucoup de personnes disaient que c'était « un chat, chien » car élevé « comme un chien », dans le sens ou il accoure vers sa maîtresse, qu'il était demandeur de caresses, qu'il me réveillait la nuit pour que je lui ouvre la porte ou la fenêtre pour sortir faire ses besoins...et ensuite, j'en ai eu plusieurs.
Pipoka |
Tous ne sont pas restés avec moi, j'ai du m'en séparer pour déménager de nouveau à mon grand regret.
Pooka, Tia, Minette et Matou |
Aujourd'hui, j'en ai 7. Deux d'entre eux sont tellement indépendants qu'il ne dorment pas à la maison, je les vois une fois tous les quinze jours, ils se font nourrir par tout le quartier et deviennent énormes. 2 d'entre eux sont encore des « ados chats », et une un bébé de trois ou 4 mois (la mère Twix la faite chez le voisin, et nous la ramené à un âge incertain mais elle devait avoir un mois et demi...) la petite Vanish.
Twix, Bounty et Mars quand ils étaient bébés |
Et enfin, mon gros nounours, mon pacha, Mr Bounty, aux allures de siamois/birmanie. Lui, c'est pareil, un vrai pot de colle. Très demandeur de caresses, il est encore plus proche de mon compagnon (qui pourtant n'apprécie pas trop les chats de base). Il nous « pétrit » tout le temps, se colle à nous, recherche constamment les caresses. Et il sent quand on est triste, joyeux, énervés, ou calmes (et là c'est la route du bonheur avec les câlins). Je considère mes chats comme mes « bébés », bien que je sois consciente qu'ils soient des animaux et non des humains. Ils sont mes protecteurs, mes confidents quand j'ai un coup de blues et mes doudous quand je recherche de l'affection non humaine. Bref, je les adore.
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